COLRUYT 48.980 € (+1.41 %) AB INBEV 56.770 € (+0.48 %) MITHRA 26.100 € (+9.43 %) SOFINA 308.000 € (+1.18 %) ECONOCOM GROUP 3.465 € (+3.13 %) SOLVAY 105.450 € (+1.39 %) BARCO 19.450 € (-0.26 %) KBC 62.700 € (+2.28 %) CFE 85.200 € (+0.83 %) VOLKSWAGEN 296.800 € (+3.70 %) UMICORE 47.470 € (-0.15 %) EVS BROADC.EQUIPM. 18.700 € (-0.64 %) OXURION 2.605 € (-0.76 %) NYXOAH 19.680 € (+5.81 %) ORANGE BELGIUM 22.100 € (+0.23 %) D'IETEREN 86.050 € (+1.53 %) PICANOL 79.800 € (0.00 %) TINC 12.600 € (+0.64 %) SIOEN 27.000 € (+0.37 %) TUBIZE-FIN 83.000 € (+0.48 %) AGEAS 51.100 € (+1.39 %) FAGRON 18.420 € (+0.22 %) ATENOR 62.800 € (+0.32 %) LEASINVEST 73.300 € (-0.54 %) EXMAR 3.515 € (+2.18 %) XIOR 45.550 € (0.00 %) BIOCARTIS 4.360 € (-0.46 %) CARE PROPERTY INV. 25.150 € (+1.41 %) RECTICEL 13.320 € (+0.60 %) IMMOBEL 66.400 € (+0.30 %) BALTA GROUP 2.530 € (+0.80 %) GBL 91.780 € (+0.64 %) EKOPAK 17.700 € (-0.56 %) TELENET GROUP 35.860 € (+1.41 %) INTERVEST OFF-WARE 21.500 € (0.00 %) QUESTFOR GR-PRICAF 7.540 € (+0.27 %) KINEPOLIS GROUP 46.440 € (+0.52 %) VGP 139.000 € (0.00 %) TESSENDERLO 37.500 € (+0.54 %) KEYWARE TECH. 0.920 € (-1.08 %) VAN DE VELDE 25.400 € (+2.42 %) ONTEX GROUP 9.180 € (+0.33 %) WERELDHAVE BELGIUM 47.000 € (+1.29 %) NYRSTAR 0.439 € (+3.18 %) AEDIFICA 101.300 € (+0.20 %) CELYAD ONCOLOGY 5.880 € (-0.68 %) EURONAV 6.970 € (-0.63 %) GIMV 52.300 € (-0.38 %) RETAIL ESTATES 61.000 € (+0.33 %) SHURGARD 38.600 € (-0.39 %) IBA 17.860 € (-0.78 %) LOTUS BAKERIES 4 435.000 € (-0.45 %) WDP 29.400 € (+0.27 %) ARGENX SE 231.400 € (+0.56 %) PROXIMUS 18.550 € (+0.49 %) MELEXIS 93.000 € (+2.31 %) BQUE NAT. BELGIQUE 1 855.000 € (-0.27 %) MONTEA C.V.A. 88.500 € (-0.23 %) DECEUNINCK 2.990 € (+0.67 %) GREENYARD 8.330 € (+1.34 %)




























































La Bourse
Coronavirus: Keolis dans le rouge en 2020 |
09/03/2021 11:39 La crise sanitaire a plongé Keolis dans le rouge en 2020, la direction de la filiale de transports urbains de la SNCF saluant pourtant sa "résilience" et sa capacité à limiter les pertes, selon des résultats publiés mardi. Le chiffre d'affaires a baissé l'an dernier de 7,5% par rapport à l'exercice précédent, à 6,088 milliards d'euros. L'excédent brut d'exploitation (Ebitda) est parallèlement en baisse de 24,2% à 532 millions. "Je ne m'attendais pas à une telle résilience", face à l'impact de la crise sanitaire et à la baisse de la fréquentation, a remarqué auprès de l'AFP la présidente Marie-Ange Debon, arrivée en juillet à la tête de Keolis. "L'entreprise a très bien résisté à cette crise. (Elle) est en perte, et en cette période c'est assez compréhensible. Mais je vois deux points positifs dans notre capacité à avoir maintenu l'impact Covid et à avoir maîtrisé la dette", a-t-elle commenté. L'impact de la crise sanitaire a été réduit de 519 à 189 millions d'euros grâce à d'importantes mesures d'économies: gel des embauches, recours au chômage partiel quand cela était possible, gel des rémunérations, ajustements de l'offre, arrêt des acquisitions, gestion serrée des liquidités, "discipline extrêmement forte" sur les investissements, renoncement au versement d'un dividende... Ces 189 millions viennent essentiellement des contrats pour lesquels Keolis est exposé aux recettes commerciales et des opérations directement affectées, comme le tourisme ou le stationnement, a relevé devant des journalistes la directrice financière Kathleen Wantz-O' Rourke. En bas du compte de résultats, le Covid-19 a fait plongé Keolis dans le rouge, tout comme ses concurrents. La direction n'a publié qu'un "résultat net récurrent" (hors éléments exceptionnels), faisant état d'une perte de 101 millions en 2020, contre un résultat positif de 47 millions d'euros un an plus tôt. Le résultat net n'a pas été rendu public, mais il a été alourdi par des provisions liées à la reprise en main par les autorités locales du gros contrat que Keolis avait gagné au Pays-de-Galles, à des problèmes en Allemagne, aux activités touristiques et à l'arrêt du "Bus direct" reliant Paris et ses aéroports. Les comptes de la SNCF font état d'une perte nette de 371 millions d'euros pour Keolis --que le groupe public contrôle à 70%--, contre une perte de 52 millions en 2019, exercice déjà plombé par des éléments exceptionnels. Ce chiffre a été mesuré "avec la méthodologie de la SNCF", a remarqué Mme Debon. Parmi les points positifs, la patronne de Keolis remarque que la dette a légèrement baissé, à 1,034 milliard d'euros, et que la trésorerie est resté positive. L'international représente toujours un peu plus de la moitié de l'activité transports de Keolis, avec 53%. Si l'année a été marquée par l'arrêt du contrat au Pays-de-Galles, le groupe a remporté l'exploitation des trains de banlieue d'Adelaide, en Australie. En France, l'attention se porte surtout sur les appels d'offres à venir: renouvellement de l'exploitation des réseaux de Bordeaux et Dijon, bus autour de Paris, métro du Grand Paris Express... Marie-Ange Debon a rendu hommage mardi aux 45.000 employés de Keolis "en première ligne" face à la pandémie. Le groupe déplore 20 morts. "On reste très optimistes sur la reprise de la fréquentation" quand la crise sanitaire s'éloignera, a-t-elle jugé, se fondant notamment sur le rebond déjà observé en Chine et en Australie. (© 2021 AFP Finance) |
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